Ce titre est issu de la conclusion de Lacan au 9°congrès de l’École freudienne à Strasbourg, en 1976.
Il ajoutera que cette histoire du bout de réel, qui est le plus à la portée de notre main, se manifeste par la résistance et la castration, et qu’il faut quand même tâcher d’un tout petit peu l’incarner. Le truc ? c’est de laisser flotter son Ego…Par exemple il qualifie son enseignement d’alibi, en précisant « j’en suis encore réduit à faire l’analysant ».
La possibilité de soutenir une telle vacance, en passant, psychanalyste, psychanalysant guide nos travaux. Nous poursuivrons ,en 2014/2015, le séminaire commencé l’an dernier. Il concerne les fins d’analyse et leurs suites pour les participants, la plupart analystes.
Le groupe se réunira au local du Cercle Freudien- 10 passage Montbrun, 75014, Paris- , à 21h15, le 2° jeudi de chaque mois à partir du 11 septembre 2014.
Pour participer, prendre contact avec Claude Lecoq, 01 42 46 46 23./ 06 70 33 28 94
ou par courriel adressé à : claudlecoq@wanadoo.fr
(Lien vers le texte de Lacan qui a initié le titre du séminaire)
L’actualité de notre clinique nous y confronte, d’où l’intérêt de porter notre réflexion sur ces propos de Lacan, prononcés pour conclure le 9e congrès de l’École freudienne à Strasbourg.
Il y pose la nécessité d’une déterritorialisation de l’analyste, en produisant un forçage théorique qu’il applique aux plans de consistance de la cure, du fait de la chute du primat du symbolique.
D’où l’intérêt d’en tirer des conséquences que je propose sous cette forme à l’élaboration :
– Une pratique de la cure où la folie n’est pas exclue… et laquelle?
– L’enseignement comme « alibi », ainsi que Lacan l’énonce, en faisant l’analysant, car il n’y a pas de transmission analytique arrêtée.
– La formule : « l’analyste ne s’autorise que de lui-même » ne doit-elle pas s’écrire différemment ?
Le groupe se réunira à 21h15 le 3e jeudi de chaque mois. Pour participer, et préciser le lieu : prendre contact avec Claude Lecoq au 01 42 46 46 23/ 06 70 33 28 94 ou par courriel adressé à : claudlecoq@wanadoo.fr
Prochaines dates : 16 janvier 2014, 20 février 2014, 20 mars 2014, 17 avril 2014, 15 mai 2014, 19 juin 2014L’actualité de notre clinique nous y confronte, d’où l’intérêt de porter notre réflexion sur ces propos de Lacan, prononcés pour conclure le 9e congrès de l’École freudienne à Strasbourg.
Il y pose la nécessité d’une déterritorialisation de l’analyste, en produisant un forçage théorique qu’il applique aux plans de consistance de la cure, du fait de la chute du primat du symbolique.
D’où l’intérêt d’en tirer des conséquences que je propose sous cette forme à l’élaboration :
– Une pratique de la cure où la folie n’est pas exclue… et laquelle?
– L’enseignement comme « alibi », ainsi que Lacan l’énonce, en faisant l’analysant, car il n’y a pas de transmission analytique arrêtée.
– La formule : « l’analyste ne s’autorise que de lui-même » ne doit-elle pas s’écrire différemment ?
Le groupe se réunira à 21h15 le 3e jeudi de chaque mois. Pour participer, et préciser le lieu : prendre contact avec Claude Lecoq au 01 42 46 46 23/ 06 70 33 28 94 ou par courriel adressé à : claudlecoq@wanadoo.fr
Prochaines dates : 16 janvier 2014, 20 février 2014, 20 mars 2014, 17 avril 2014, 15 mai 2014, 19 juin 2014L’actualité de notre clinique nous y confronte, d’où l’intérêt de porter notre réflexion sur ces propos de Lacan, prononcés pour conclure le 9e congrès de l’École freudienne à Strasbourg.
Il y pose la nécessité d’une déterritorialisation de l’analyste, en produisant un forçage théorique qu’il applique aux plans de consistance de la cure, du fait de la chute du primat du symbolique.
D’où l’intérêt d’en tirer des conséquences que je propose sous cette forme à l’élaboration :
– Une pratique de la cure où la folie n’est pas exclue… et laquelle?
– L’enseignement comme « alibi », ainsi que Lacan l’énonce, en faisant l’analysant, car il n’y a pas de transmission analytique arrêtée.
– La formule : « l’analyste ne s’autorise que de lui-même » ne doit-elle pas s’écrire différemment ?
Le groupe se réunira à 21h15 le 3e jeudi de chaque mois. Pour participer, et préciser le lieu : prendre contact avec Claude Lecoq au 01 42 46 46 23/ 06 70 33 28 94 ou par courriel adressé à : claudlecoq@wanadoo.fr
Prochaines dates : 16 janvier 2014, 20 février 2014, 20 mars 2014, 17 avril 2014, 15 mai 2014, 19 juin 2014L’actualité de notre clinique nous y confronte, d’où l’intérêt de porter notre réflexion sur ces propos de Lacan, prononcés pour conclure le 9e congrès de l’École freudienne à Strasbourg.
Il y pose la nécessité d’une déterritorialisation de l’analyste, en produisant un forçage théorique qu’il applique aux plans de consistance de la cure, du fait de la chute du primat du symbolique.
D’où l’intérêt d’en tirer des conséquences que je propose sous cette forme à l’élaboration :
– Une pratique de la cure où la folie n’est pas exclue… et laquelle?
– L’enseignement comme « alibi », ainsi que Lacan l’énonce, en faisant l’analysant, car il n’y a pas de transmission analytique arrêtée.
– La formule : « l’analyste ne s’autorise que de lui-même » ne doit-elle pas s’écrire différemment ?
Le groupe se réunira à 21h15 le 3e jeudi de chaque mois. Pour participer, et préciser le lieu : prendre contact avec Claude Lecoq au 01 42 46 46 23/ 06 70 33 28 94 ou par courriel adressé à : claudlecoq@wanadoo.fr
Prochaines dates : 16 janvier 2014, 20 février 2014, 20 mars 2014, 17 avril 2014, 15 mai 2014, 19 juin 2014