Du signifiant et du signifié chez Lacan : barre, intervalle, trou

Argument pour le séminaire 2014/15 de Marjolaine Hatzfeld

Du signifiant et du signifié chez Lacan : barre, intervalle, trou.

 

Les lignes de faille selon lesquelles se décompose le cristal de la « personnalité psychique » selon Freud – voir le fameux schéma de ‘l’œuf-à-l’œil’ – se trouvent par Lacan  réduites à une seule : celle qui écartèle les éléments corrélés du signe linguistique, signifiant et signifié, par une barre dont la fonction va bien au-delà qu’à imager une simple répartition des  termes dans un espace homogène de pensée.

C’est à propos de l’expérience du paranoïaque – écartelé, lui, entre une signification absolue, gorgée d’une jouissance allusive, et des paroles parasites, dénuées de sens  -, que pour Lacan s’ouvre la voie qui devrait « permettre de restaurer le juste rapport, de plus en plus méconnu dans le travail analytique, du signifiant et du signifié »  ( L.III, 293 ).

Cette dérobade du sens toujours dans un arrière plan, «  un sens qui serait extrêmement plein, et dont la fuite aspire le sujet » , est-ce que cela ne définit pas aussi bien l’effet du langage sur le sujet dit normal, à ceci près que cette signification n’émane pas d’une voix dans le réel, mais reste neutralisée dans l’inconscient ?

L’ « algorithme » (S/s) que Lacan met à la clef du travail analytique nous enjoint d’abord de savoir  « surtout ne pas comprendre », déconnecter, en toute audition, les deux plans du signifiant et du signifié, – en somme, se mettre au niveau de ce que l’inconscient pratique ingénument dans tout travail du rêve et autres formations de l’inconscient.

Encore faut-il préciser ce que Lacan assigne comme fonction à chacun de ces deux termes, si souples à passer l’un dans l’autre dans un passez-muscade qui irrita parfois ses propres auditeurs. Fonctions qui varieront au point de renverser la donne de départ, quand le signifiant sera affecté tout crûment au chiffrage de la jouissance, nonobstant son précédent emploi comme élément d’un ordre symbolique,  propre à faire lien social..

*          *          *          *

Ce séminaire se tiendra les mardi 14 Octobre,  25 Novembre 2014, 13 Janvier, 31 Mars, 12 Mai, 23 Juin 2015, à 21 h. , au Céasil, 4 rue Vigée-Lebrun, 75015 Paris.

Une participation congrue pour la location de la salle sera demandée (5 euros).Argument pour le séminaire 2013-2014.

D’un phallus l’autre

Bien des tentatives de définition ont été faites par Lacan pour donner sens analytique à ce terme de phallus, et à la lettre grand phi, qui l’inscrit comme mathème. De celle-ci, par exemple, « symbole général d’un manque, nécessaire à introduire le désir dans le signifiant » ( V,273), à cette autre « …une phonction de phonation, c’est là l’essence du grand phi …phonction de phonation qui se trouve être substitutive du mâle, dit homme… » (XXIII,127), le passage peut dérouter. Mais c’est tout au long de son élaboration que la notion se modifie insensiblement, voire à notre insu.

Chaque fois que Lacan réaborde cette question, comme à nouveaux frais, pour ses auditeurs, vient immédiatement le détour par la question de « ce que c’est qu’un signifiant » (V, 342 ). Nous nous arrêterons à ce moment où Lacan fait osciller le phallus entre signe du désir, moyen d’action (instrument de copulation), et ce qu’il introduit là comme « présence réelle » (VIII, 26/4/1961 et passim) – moment où se fait jour une argumentation inédite visant à justifier une fois de plus, mais autrement, le statut de signifiant qu’il entend donner à l’organe phallique. Ce moment, qui fait intervenir un « mécanisme pervers », introduit clairement la distinction du signe et du signifiant dans la portée que lui donne Lacan dès l’année suivante (IX).

Nous reprendrons donc cette question, à double, voire à triple face, à partir du séminaire du Transfert (Avril et juin 1961), qui nous parait être un de ces moments à relever dans l’usage que

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fait Lacan de « son » grand phi (cf. « mon grand phi, qui peut aussi bien être la première lettre du mot phantasme » (XXIII,127).

Ce séminaire se tiendra les mardis 15 octobre, 3 décembre, 28 janvier, 4 mars, 6 mai, 17 juin, à 21h. au Céasil, 4 rue Vigée-Lebrun, 75015 Paris.

Une participation congrue pour la location de la salle sera demandée (5 euros).Argument pour le séminaire 2013-2014.

D’un phallus l’autre

Bien des tentatives de définition ont été faites par Lacan pour donner sens analytique à ce terme de phallus, et à la lettre grand phi, qui l’inscrit comme mathème. De celle-ci, par exemple, « symbole général d’un manque, nécessaire à introduire le désir dans le signifiant » ( V,273), à cette autre « …une phonction de phonation, c’est là l’essence du grand phi …phonction de phonation qui se trouve être substitutive du mâle, dit homme… » (XXIII,127), le passage peut dérouter. Mais c’est tout au long de son élaboration que la notion se modifie insensiblement, voire à notre insu.

Chaque fois que Lacan réaborde cette question, comme à nouveaux frais, pour ses auditeurs, vient immédiatement le détour par la question de « ce que c’est qu’un signifiant » (V, 342 ). Nous nous arrêterons à ce moment où Lacan fait osciller le phallus entre signe du désir, moyen d’action (instrument de copulation), et ce qu’il introduit là comme « présence réelle » (VIII, 26/4/1961 et passim) – moment où se fait jour une argumentation inédite visant à justifier une fois de plus, mais autrement, le statut de signifiant qu’il entend donner à l’organe phallique. Ce moment, qui fait intervenir un « mécanisme pervers », introduit clairement la distinction du signe et du signifiant dans la portée que lui donne Lacan dès l’année suivante (IX).

Nous reprendrons donc cette question, à double, voire à triple face, à partir du séminaire du Transfert (Avril et juin 1961), qui nous parait être un de ces moments à relever dans l’usage que

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fait Lacan de « son » grand phi (cf. « mon grand phi, qui peut aussi bien être la première lettre du mot phantasme » (XXIII,127).

Ce séminaire se tiendra les mardis 15 octobre, 3 décembre, 28 janvier, 4 mars, 6 mai, 17 juin, à 21h. au Céasil, 4 rue Vigée-Lebrun, 75015 Paris.

Une participation congrue pour la location de la salle sera demandée (5 euros).Argument pour le séminaire 2013-2014.

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Chaque fois que Lacan réaborde cette question, comme à nouveaux frais, pour ses auditeurs, vient immédiatement le détour par la question de « ce que c’est qu’un signifiant » (V, 342 ). Nous nous arrêterons à ce moment où Lacan fait osciller le phallus entre signe du désir, moyen d’action (instrument de copulation), et ce qu’il introduit là comme « présence réelle » (VIII, 26/4/1961 et passim) – moment où se fait jour une argumentation inédite visant à justifier une fois de plus, mais autrement, le statut de signifiant qu’il entend donner à l’organe phallique. Ce moment, qui fait intervenir un « mécanisme pervers », introduit clairement la distinction du signe et du signifiant dans la portée que lui donne Lacan dès l’année suivante (IX).

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Chaque fois que Lacan réaborde cette question, comme à nouveaux frais, pour ses auditeurs, vient immédiatement le détour par la question de « ce que c’est qu’un signifiant » (V, 342 ). Nous nous arrêterons à ce moment où Lacan fait osciller le phallus entre signe du désir, moyen d’action (instrument de copulation), et ce qu’il introduit là comme « présence réelle » (VIII, 26/4/1961 et passim) – moment où se fait jour une argumentation inédite visant à justifier une fois de plus, mais autrement, le statut de signifiant qu’il entend donner à l’organe phallique. Ce moment, qui fait intervenir un « mécanisme pervers », introduit clairement la distinction du signe et du signifiant dans la portée que lui donne Lacan dès l’année suivante (IX).

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